OFFRE ET DEMANDE FINANCEMENT
Prévision de ventes
De là, pour confirmer la règle générale des 20 % de vos clients représentent 80% de vos ventes. Notre cœur de cible reste ces hommes d’affaires au revenu annuel excédant les 75000€, traitant avec la Chine
A eux, nous allons offrir l’empire du milieu à un prix écrémage minimum de 3500 €
Aussi, pour assurer notre pérennité (employés, service marketing, espaces publicitaires…), nous comptons vendre au minimum ??? billets par mois afin de palier aux périodes creuses (vacances de nos clients dirigeants…)
Rentabilité= (prix
unitaire X produit vendu) - (coût unitaire X produit vendu)
|
|
= (100 X 10.000) -
(80 X 10.000) = 1.000.000 - 800.000
|
|
= 200.000 = chiffres
d'affaires - prix coûtant total
|
Les méthodes de détermination des
prix
Prix de vente = coût de revient + marge
À partir de ce chiffre
d'affaires prévisionnel on va estimé les
coûts prévisionnels du futur magasin qu’on va implanter.
La différence entre le
chiffre d'affaires et coût prévisionnel donnera soit un résultat positif (selon les objectifs de rentabilité des
investissements qu’on c’est donner pour implanter le magasin).
Si le résultat est négatif
dans la plus grande partie des cas on n’implantera pas de magasins .
Rentabilité= (prix
unitaire X produit vendu) - (coût unitaire X produit vendu)
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= (100 X 10.000) -
(80 X 10.000) = 1.000.000 - 800.000
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= 200.000 = chiffres
d'affaires - prix coûtant total
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Les méthodes de détermination des
prix
Prix de vente = coût de revient + marge
À partir de ce chiffre
d'affaires prévisionnel on va estimé les
coûts prévisionnels du futur magasin qu’on va implanter.
La différence entre le
chiffre d'affaires et coût prévisionnel donnera soit un résultat positif (selon les objectifs de rentabilité des
investissements qu’on c’est donner pour implanter le magasin).
Si le résultat est négatif
dans la plus grande partie des cas on n’implantera pas de magasins .
Politiques et stratégies de développement de l'entreprise
·
Toujours dans l’optique de
minimiser au maximum nos coûts, nous allons travailler suivant le principe du
télétravail (Des espaces « au cas par cas» et pas « au cas où »)
Comme il s'avère assez rare que tous les commerciaux d'une société soient à leur bureau en même temps, il n'est pas nécessaire d'allouer un bureau individuel à chacun ; faire de l'"office hoteling"[1].
Comme il s'avère assez rare que tous les commerciaux d'une société soient à leur bureau en même temps, il n'est pas nécessaire d'allouer un bureau individuel à chacun ; faire de l'"office hoteling"[1].
·
Pour notre visibilité,
utiliser les centres d'affaires qui proposent des bureaux entièrement meublés
et équipés.
Coût de dévelopement de notre SA
Frais de publication
(journal d'annonces légales) : environ 230 euros
Immatriculation au registre du commerce et des sociétés (y compris le dépôt d'actes) : 83,96 euros
Immatriculation au registre du commerce et des sociétés (y compris le dépôt d'actes) : 83,96 euros
Créer une entreprise : quels frais les
premières années ? apport initial (en numéraire ou en nature), frais
de rédaction des statuts, coûts des formalités (dépôt du dossier au CFE, stage
de préparation à l’installation, publication dans un journal d’annonces
légales). des charges à assumer au cours
de la vie de l’entreprise : salaires et charges sociales (pour le dirigeant
d’entreprise et pour les salariés), impôts et taxes (impôt sur les bénéfices,
TVA, taxe professionnelle), frais liés à la comptabilité (honoraires de
l’expert comptable, adhésion à un centre ou une association de gestion agréé,
honoraires du commissaire aux comptes), assurances, frais liés à la
documentation juridique et à la tenue des assemblées et, bien évidemment,
dépenses directement liées à votre activité.
Une relation saine avec nos
fournisseurs
6. L’équipe de gestion
1.
Organisation
Notre compagnie est le groupe aérien leader au départ de la Belgique, offrant à ses
clients un service sûr, fiable, ponctuel, soigné et novateur dans son genre, le
tout avec le sourire.
Tous embarqué dans un même bateau et comme chaque membre du corps
humain, l’équipe de gestion de LA forme un tout indissociable. Nous contribuons
aussi bien individuellement qu’unis aux résultats et à la réputation de la
compagnie
Notre Compagnie va signer des accords bilatéraux pour la coopération
avec une série des compagnies Aériennes de qualité. De telles coopérations nous permettent de vous offrir
un nombre maximum de vols au sein de
notre réseau En même temps vous donne
accès aux compagnies aériennes les plus
importantes du monde.
2.
Composition de l’équipe de
gestion
Les Actionnaires:
Comité Exécutif
X, Managing Director
Y, Managing Director
Z, Director & Chief financial officer
W, Vice Président Executif Ressources Humaines
V, Vice Président Executif Strategy & Business Development
6.3 Structure et style de l’équipe de gestion(A discuter avec le groupe)
6.4 Les propriétaires de
l’entreprise
6.5 Conseils et expertise
extérieur
6.6 Conseils
d’administration ou comité consultatif
7. L’exploitation
1.
La main d’œuvre
Notre compagnie propose de services de réservation via internet:
site:
Ceci dans le but de diminuer les charges liées aux mains d'Oeuvres.
Ainsi, nous maximisons dans le ICT
1. Environnement
juridique
La Commission a présenté une
proposition législative en décembre 2006, suggérant de plafonner les émissions
de CO2 pour tous les avions au départ ou à destination d'aéroports européens et
d'autoriser les compagnies aériennes à échanger leur surplus
de "crédits de pollution" sur le "marché européen du carbone"
(système d'échange de quotas d'émissions
Le marché des droits à polluer: où en est l’Union Européenne?
Partie du protocole de Kyoto sur la réduction de l’émission des gaz à effet
de serre, l’UE développe sa stratégie pour lutter contre le réchauffement
climatique.
Les passagers des compagnies aériennes européennes ou exerçant leur
activité sur le territoire de l’UE devront-ils bientôt payer 9 € par billet
pour contribuer à la réduction des émissions de CO2? La Commission européenne a
présenté le mardi 27 septembre un plan visant à réduire la contribution
croissante des transports aériens au changement climatique. La Commission pense en
effet que la contribution des transports aériens à l’émission des gaz à effets
de serre, facteur du changement climatique, va croître fortement dans la
prochaine décennie. « Un vol aller-retour pour deux d’Amsterdam à la
station balnéaire thaïlandaise de Phuket produit nettement plus de dioxyde de
carbone (CO2), un gaz à effet de serre, qu’une voiture neuve moyenne n’en produit
en une année entière » indiquait la commission.
Qu’est-ce que le système d’échange de quotas d’émission de gaz à effet de
serre de l’UE ?
Pour ne pas ruiner les efforts menés dans le cadre du Protocole de Kyoto
sur la limitation des gaz à effet de serre (qui fixe l’objectif d’une
diminution de 8% par rapport au niveau de 1990), les responsables de la Commission proposent
d’intégrer les compagnies aériennes dans le système d’échange de quotas
d’émission de gaz à effet de serre de l’UE (The European Union Greenhouse Gas
Emission Trading Scheme ou ETS). Ce système prend sa base juridique dans la
directive 2003/87/CE. Il n’est entré en vigueur qu’au début 2005. Pour
comprendre comment il fonctionne, reprenons depuis le début :
1. on détermine au plan mondial la quantité de CO2 que l’on pourrait
émettre sans influencer le climat,
2. on la répartit entre les parties, en l’occurrence entre 39 pays. On leur
donne alors des « permis d’émission ». A partir de 2008, ces permis
seront négociables. Si, par exemple, un pays n’a pas de problème pour atteindre
son objectif de réduction d’émissions, il revend alors les permis qu’il a en
trop. Dans le sens contraire, celui qui aurait du mal à atteindre son objectif
de réduction pourra acheter ces permis mis en vente.
3. chaque Etat constitue un relevé, annuel et vérifié par des experts, des
émissions des entreprises intensives en gaz à effet de serre ( production
d’énergie, ciment, verre, métaux ferreux, industries minérales, papeterie) et
leur alloue des quotas d’émissions ( cette allocation se fait en deux
étapes : d’abord l’administration donne aux exploitants des droits à
émettre une certaine quantité de dioxyde de carbone sur trois ans ; les
quotas sont ensuite transférés et inscrits à l’actif de la société exploitante)
4. À la fin de chaque année les entreprises devront restituer les quotas
correspondant à autant de tonnes équivalent C02 qu’elles ont été autorisées à
rejeter.
5. Le dispositif européen et le système de Kyoto prévoient la possibilité
pour les détenteurs de quotas de les transférer d’un compte à un autre. Rien
n’a toutefois été prévu pour faciliter les échanges de ces actifs
environnementaux, excepté la publication de certaines informations. Les
différentes transactions possibles sont les échanges de gré à gré, les échanges
via un intermédiaire financier (un courtier, par exemple), et les échanges
organisés via une plate-forme de marché. En France et en Allemagne, ce sont
aussi les organisateurs du marché de l’électricité (Powernext en France et
l’EEX en Allemagne) qui géreront leur marché national du CO2.
La Commission souhaite donc
intégrer les compagnies d’aviation dans ce système. Les réactions des
compagnies ne se sont pas fait attendre. Pour elles, il s’agit d’éviter des
réglementations supplémentaires qui pourraient aggraver leur situation, déjà
rendue difficile par l’augmentation du prix du pétrole. Pour la Commission, la tâche
n’est pas aisée : il faut trouver un équilibre entre les exigences
économiques et environnementales. L’instauration d’un marché des « droits
à polluer » semble une bonne solution. Mais bien loin de croire que le
marché pourrait protéger l’environnement, il faut accepter le rôle primordial
de la puissance publique. En effet, l’enjeu réside désormais dans la fixation des
objectifs en termes de limitation, de répartition des quotas, et dans la
définition de règles obligeant les gros pollueurs à des efforts de réduction
réels avant d’avoir recours marginalement à l’achat de quota des entreprises ou
des pays plus “ propres ”. Une forte régulation publique est essentielle.
2. Fournisseur
7.11 Mode
de paiement
Un paiement sécurisé en ligne par carte de crédit(Visa, Eurocard Mastercard, American express...)
Financement
externe de l’entreprise :
· Financement par actions : il peut prendre aussi la forme d’un
« appel public à l’épargne, la vente auprès du public d’actions de
l’entreprise) ou être obtenu auprès d’entreprise de capital de risque (qui
fournissent des fonds en échange d’une participation dans notre entreprise).
·
Financement par emprunt : on peut faire ce type d’emprunt auprès d’une banquet,
d’une institution financière ou d’un organisme gouvernemental. On rembourse le
capital, plus le loyer de l’argent c’est-à-dire les intérêts.
[1]
Technique permettant de réduire la surface
de bureaux nécessaire à l'entreprise, optimisant les charges, tout en assurant
que les collaborateurs aient bien les ressources et l'espace qui leur sont
nécessaires.
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