La monnaie
en tant que rapport social :
Pour définir
la monnaie nous avons utilisé le mot « objet » toutefois bien que la monnaie a
besoin d’un support matériel à savoir (les billets, les chèques, les jeux
d’écriture dans les comptes des banques).
Elle n’est
pas un objet comme les autres puisqu’elle n’intervient pas dans la consommation
ni dans la production bien qu’elle joue un rôle
indirecte sur la consommation
et la production en facilitant les échanges, son principal intérêt est d’être
acceptée par tout le monde de servir de relations entre les individus ce qui
suppose « la confiance » entre eux, mais aussi envers l’institution qui émet la
monnaie d’où l’expression de monnaie fiduciaire du terme « fiducia » qui peut
dire confiance en latin, d’ailleurs il existe un rapport entre le degré de
liquidité et le niveau de confiance.
La monnaie
banque central étant la plus liquide car elle a la garanti de l’Etat qui est
sensé ne jamais défaillir un phénomène comme tel que la confiance, relève les
relations interindividuel ( on a confiance en quelqu’un qu’in connaît mais pas
qu’on ne connaît pas) et non des comportements considérés d’une manière isolée.
De même
l’existence d’un système de garanti surveillé par l’Etat fait intervenir un
réseau complexe d’institution qui ne peut lui n’ont plus être réduit à de choix
individuels ce qui n’est pas gênant pour les théories qui adoptent un point de
vue sociable tel que qui admet que la société et les institutions qui l’a
caractérise est inséparable des individus en revanche la prise en compte de la
confiance est très problématique pour les démarches qui relève de
l’individualisme méthodologique dont la théorie néoclassique constitue la
version la plus achevée, cette théorie bien entendu donne la prééminence de
l’individu sur la société.
Il est vrai
que les néoclassiques ont essayé de construire des model où la monnaie a un
fondement microéconomique mais ces model envisagent la monnaie comme un moyen
d’échange et non comme un intermédiaire dans les transactions courantes.
Il est
intéressant de constater qu’en économie, on distingue deux types d’enseignements
: La microéconomie où l’accent est mise sur les taux
d’échange mais il n y’a
pas trace de la monnaie et de La macroéconomie où la monnaie est sensé exister
mais sans aucune explication.
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